Bonjour à toutes et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast. Murmure Equin je me suis rendu compte, quand j’ai regardé toute la liste des épisodes, que je n’ai jamais fait d’épisodes sur un sujet qui me touche particulièrement, c’est le sujet du stress chez nos chevaux. Le sujet du stress chez les humains n’est pas mon préoccuper ici si vous en avez besoin et envie, il y a toujours l’épisode sur la santé mentale (épisode 34). Mais là, on va parler du stress chez les chevaux.
Qu’est ce que c’est le stress ?
Premièrement, qu’est ce que c’est que le stress ? Le stress ? C’est une série de réactions en chaîne, donc des réactions hormonales qui sont un phénomène d’adaptation du corps, pour permettre au corps de réagir à notre environnement. Le stress, c’est une réaction interne causée par un stimuli extérieur. Le stress, c’est ce qui permet au cheval en fait, de rester en vie. C’est ce qui lui permet de bouger correctement, ce qui lui permet de fuir. C’est aussi ce qui lui permet de se battre si des fois il y en a besoin. Mais on sait que le cheval est quand même un animal de proie dont la principale manière de se défendre, c’est de fuir le plus loin possible.
Les différents types de stress et leurs effets
Il existe différents types de stress et donc différents types d’effets du stress.
Premièrement, on a le stress physique. Ce sont des stress qui vont causer des douleurs physiques chez l’animal, comme des coliques, des maux de tête, des ulcères gastriques et troubles de la digestion. Je parle de digestion, je parle autant de l’estomac, donc l’assimilation des nutriments que des intestins qui sont autant sur l’assimilation de nutriments que sur l’évacuation des déchets. Donc un cheval qui a des problèmes d’évacuation soit qu’il est constipé ce qui se remarque moins souvent, soit un cheval qui a des selles molles ou de la diarrhée. Ça peut être une manifestation d’un stress.
On a aussi ce qu’on appelle le stress émotionnel. Donc là, ce qu’on va le voir par de l’anxiété, par la sensibilité qui va être accrue, par une excitation du cheval.
Et on peut avoir du stress intellectuel, ce qu’on appelle aussi stress mental. Donc il va y avoir des difficultés d’apprentissage du cheval, des difficultés de concentration, mais aussi des difficultés à prendre des initiatives. Tous ces cas là sont des manifestations d’un cheval qui est peut être stressé, un cheval qui a des douleurs, un cheval qui a une sensibilité accrue, un cheval qui a du mal à prendre des initiatives ou qui a des difficultés pour apprendre de nouvelles choses. Ça peut être le signe d’un animal qui est stressé.
Et il y a un autre type de stress dont je voudrais vous parler, c’est le stress cellulaire, souvent par manque de nutriments ou par déséquilibre de nutriments et par manque d’eau. Ce stress fait qu’en fait, ça va être vraiment au niveau le plus petit possible. Donc au niveau de la cellule, la cellule ne va pas pouvoir fonctionner correctement. Est ce qu’il va y avoir des déséquilibres denses dans ces nutriments ou qu’il n’y a pas assez d’eau ou qu’il y a un déséquilibre entre l’intérieur de la cellule et l’extérieur ? Et ce déséquilibre peut provoquer des tensions musculaires, des pathologies tendineuses peut aussi provoquer forcément des douleurs. On rejoint en fait le stress physique, mais à une échelle plus petite.
Le stress apparaît quand l’individu est en danger. Donc quand les besoins fondamentaux de l’individu, donc du cheval, ne sont pas remplis, ne sont pas tous respectés. À partir de là, ça va être une situation de stress pour l’animal parce qu’il est en danger. Sa survie est potentiellement menacée du fait de ses besoins fondamentaux qui sont pas remplis. Et donc on va avoir du stress et non de stress comme on l’a dit physique et émotionnel, mental etc.
Les différents niveaux de stress
Il y a différents niveaux de stress. Premièrement, le niveau d’alarme, c’est le moment ou l’organisme se prépare à avoir une réponse soit de combat, soit de fuite. C’est les fight or flight response en anglais. Si vous voulez chercher ça, ça vous aidera. Et puis, comme je l’ai dit, chez le cheval en général, la première réponse, c’est du flight, de la fuite. Et si vraiment la fuite est impossible, le cheval va potentiellement passer en mode fight, donc en mode combat. Mais c’est quand même assez rare chez les chevaux, ils ont quand même tendance à fuir, beaucoup plus qu’à attaquer. Et qu’est ce qui se passe donc au premier niveau de stress ? Il y a des hormones, les catécholamines, qui sont sécrétées par l’organisme et donc elles sont sécrétées quand il y a un impact extérieur. Si un stimuli extérieur de menace de l’animal, le corps va sécréter ces hormones qui vont avoir comme rôle d’augmenter la fréquence cardiaque, la tension artérielle, le niveau de vigilance, la température corporelle. Donc ça va augmenter toutes les fonctions du corps qui vont permettre à l’animal soit de fuir ou de combattre. Et quand en fait, il va y avoir cette augmentation des capacités de l’animal à fuir ou à se battre, il va y avoir du coup, en miroir, une diminution de ses capacités à réfléchir. Il va y avoir une diminution de toutes les fonctions qui ne sont pas essentielles à la fuite ou au combat, donc les fonctions cérébrales sont grandement diminués. Les fonctions d’assimilation de la nourriture sont aussi grandement diminuées dans ce premier niveau de stress qu’est l’alarme. Donc le cheval va moins bien assimiler les nutriments et va moins bien réfléchir aussi. Par contre, vu que la fréquence cardiaque augmente, la tension artérielle augmente aussi, donc les muscles sont mieux irrigués. Donc en fait, c’est le moment là ou la force physique de l’animal va augmenter parce que ces muscles sont mieux irrigués. Tout son corps se prépare à faire un effort physique plus intense.
Ensuite, le deuxième niveau de stress, c’est le niveau de résistance. Donc là, il y a un deuxième groupe d’hormones qui va rentrer en jeu, c’est les glucocorticoïdes. Et eux, ils vont avoir comme rôle d’augmenter le taux de sucre dans le sang pour apporter l’énergie nécessaire aux muscles au cœur, pour maintenir un niveau constant de glucose. On voit qu’on a passé cette étape d’augmentation de capacité et maintenant on est sur une étape de maintien dans un niveau de ses capacités de fuite ou de combat.
Les glucocorticoïdes sont normalement auto régulé par le corps, c’est à dire qu’il y a des récepteurs cellulaires qui vont remarquer qu’il y a des glucocorticoïdes et quand il y en a trop, vont renvoyer un message au cerveau qui va diminuer un peu le niveau de glucocorticoïdes. Mais dans le troisième niveau de stress, qui est le niveau d’épuisement, l’autorégulation devient inefficace. Donc, l’organisme est en constante sur-stimulation, le taux de sucre dans le sang reste au. l’Énergie apportée aux muscles reste haute. l’énergie apportée au cœur, qui est un muscle également, reste haute et donc toutes les fonctions cérébrales des fonctions secondaires restent basses, elles restent au niveau minimum pour que le corps puisse fonctionner. Vous comprenez bien qu’une sur stimulation des fonctions de combat ou de fuite ne sont pas bénéfiques pour l’individu et vont causer une fatigue à long terme. Alors quand je parle de fatigue, je parle aussi pour les humains. Donc c’est ce qui arrive quand vous êtes stressé en continu. Et un stress chronique modifierait durablement le mode d’expression des gènes, c’est à dire l’épigénétique.
Donc l’animal qui est stressé de manière chronique, ce qui va se passer, c’est qu’en fait le niveau d’alarme va être de plus en plus court, va être de plus en plus réactif. Le corps va savoir ce qui se passe et donc le corps va réagir de plus en plus vite. On est bien d’accord, un niveau de stress faible de manière peu prolongée, c’est bénéfique pour l’animal. C’est à dire qu’il va y avoir une augmentation de la fréquence cardiaque, une augmentation de la tension artérielle, une augmentation du niveau de vigilance, une augmentation de la température corporelle. Tout ça permet au corps de l’animal de mieux fonctionner, d’être plus athlétique et d’augmenter ses capacités physiques. Donc, en niveau de stress léger, l’animal va être capable de faire des prouesses sportives plus intenses, plus fortes, plus hautes. Plus, plus, plus va être capable de faire plus de choses. Le risque de méfaits pour l’organisme est vraiment quand le niveau de stress redescend un peu parce que l’animal réfléchit moins. Ou qui a vraiment besoin de ces alternances de phases de stress léger et de repos qui est bénéfique pour la concentration qui est bénéfique pour le fonctionnement cérébral.
Pour que l’animal puisse apprendre de manière constructive, de manière fluide et de manière pérenne. Donc un peu de stress, c’est bien. Beaucoup de stress ou un peu de stress, mais beaucoup trop souvent va être néfaste pour l’organisme. Et donc, comme je vous l’ai dit, le stress, quand ça devient chronique, on va avoir une modification de l’expression des gènes et donc on peut avoir un stress qui persiste même après la disparition des causes. Admettons que votre cheval ait vécu dans un environnement stressant une grande partie de sa vie, peut être qu’il a vécu dans un box avec beaucoup de monde qui passait de manière imprévisible. Et puis un jour, vous le déménagez et vous enlevez ces causes de stress émotionnel. Il se peut que les réactions de stress persistent parce qu’elles sont maintenant ancrées dans l’animal. Et je tiens aussi à vous rappeler que c’est toujours le système nerveux du cheval qui décide. Quand le stress est trop haute, le stress est trop prolongé ou quand le stress est trop intense.
Nous, en tant qu’humain, on peut des fois se dire non, mais là la situation n’est pas stressante du tout. Mais en fait, c’est pas du tout le cas pour le cheval qui lui vit la situation d’une manière très stressante et c’est toujours du coup le cheval qui décide quand le stress est trop fort pour lui. Ce n’est pas nous qui pouvons nous dire peut être que dans la situation, là, ça va aller ou dans la situation. Là, je suis sûr que ça doit aller parce que ça a été déjà une autre fois, etc. On n’a pas toutes les cartes en main pour décider. Est ce qu’une situation est stressante ou pas ? C’est vraiment le cheval qui doit décider et il y a trop de paramètres en compte pour que nous, on puisse décider si une situation est stressante ou pas. Donc c’est vraiment important de savoir en ligne lire les signaux de stress pour votre cheval, pour savoir quand est ce que. Situation est trop stressante pour lui et pour essayer de diminuer ce niveau de stress et permettre à l’animal d’emmagasiner de l’expérience et d’apprendre de ces situations légèrement stressantes.
Du coup, comment on fait ? Si le stress peut persister, même après la disparition des causes ? Déjà, la première chose à faire, c’est de faire disparaître les causes, donc de répondre aux besoins fondamentaux du cheval, à savoir une nourriture en quantité suffisante et sur une durée de temps suffisante. En parlant de nourriture, je parle aussi d’eau. Donc il faut qu’il y ait de l’eau à volonté et de bonne qualité. Il faut que l’animal ait accès à des congénères qui sont un peu qui sont indispensables pour être dans un état de stress relativement bas. Il faut que l’animal ait accès à des zones de confort, c’est à dire des zones ou il peut se coucher des zones ou il peut se reposer. Et avec cette notion de confort, on a la notion de sécurité. Il faut que l’animal se sentent en sécurité dans son environnement. Et là encore, ce n’est pas nous, humains, qui pouvons décider si l’environnement est sécuritaire pour le cheval ou pas. C’est vraiment lui qui doit décider s’il juge l’environnement sécuritaire ou pas.
Nous, pour ça, il faut le protéger des prédateurs. Normalement, il y a très peu de chance qu’en France notre animal rencontre un prédateur naturel. Mais il reste quand même l’humain peut être un prédateur et donc c’est à nous, humains, de faire en sorte que ne soit pas perçu par notre animal comme un prédateur, donc d’avoir des réactions qui sont homogènes, qui sont certaines pour lui, etc. Et il y a un autre besoin fondamental du cheval, c’est celui de liberté, c’est celui de pouvoir se mouvoir librement. Le cheval, c’est un animal qui a tendance à fuir. Et donc quand la fuite est impossible pour lui et qu’il y a un danger, forcement son niveau de stress va augmenter. C’est donc important que votre cheval ne se sente pas enfermer et qu’il ait la possibilité de bouger comme il veut. Alors quand je dis enfermé, ça peut être enfermé dans un box, peut être enfermé entre quatre murs, mais ça peut aussi être enfermé dans un licol, c’est à dire qu’un licol peut empêcher le cheval de bouger librement et donc peut augmenter son niveau de stress.
On a donc vu les besoins fondamentaux du cheval et donc c’est à nous, humains, de faire en sorte que les conditions de vie de notre animal soient le plus épanouissantes possibles et donc le moins stressantes possible. Je sais que des fois, les conditions de vie idéales sont difficiles à remplir. C’est pas forcément possible dans toutes les régions. Ce n’est pas forcément possible selon nous, nos besoins d’humains, d’avoir peut être nos chevaux à proximité, de ne pas avoir trop de temps de route, de ne pas avoir trop d’argent à dépenser non plus. On a des difficultés à combiner des conditions de vie idéales pour notre cheval et nos conditions de vie idéales pour profiter de nos choix. Et puis des fois, comme je l’ai dit, on fait tout ce qu’il faut pour diminuer le stress de nos animaux et ils sont toujours stressés parce qu’il y a eu une phase de stress chronique qui a été très longue et donc le corps est passé dans une autre manière de s’adapter, dans une autre manière de réagir. Et donc le cheval reste stressé, même s’il est plus dans un environnement stressant.
Les solutions pour aider votre cheval stréssé
Il existe plein de solutions du coup pour aider votre animal, notamment grâce à l’éducation que vous allez lui apporter, grâce au travail que vous allez faire avec lui, pour lui faire comprendre, pour lui faire diminuer son niveau de stress, pour lui faire comprendre qu’il est capable de bouger ou lui faire comprendre qu’il est en sécurité pour en fait tout reprogrammer. On va dire le schéma de pensée de votre animal, ça prend du temps, ça prend de l’énergie, ça c’est sûr. Et aujourd’hui, je vais vous parler d’une autre manière qui peut aider ? C’est le shiatsu. C’est ce que je pratique, c’est ce que je connais. Il y a plein d’autres manières d’aider votre cheval. Aujourd’hui, je vais vous parler du shiatsu qui peut vraiment aider votre animal à augmenter sa proprioception, c’est à dire à augmenter sa carte de son corps, la manière dont il sait ou est son corps et la manière dont il sait comment son corps peut bouger en faisant une séance de shiatsu. Du coup, l’animal va avoir plus conscience de son corps.
Parce qu’on va réaliser des pressions des doigts sur tout le corps de l’animal ? Donc il va mieux savoir où sont ses postérieurs, comment ils peuvent bouger, comment ils peuvent s’articuler avec les antérieurs. Tout ça va augmenter. Du coup, la conscience corporelle de votre cheval qui va avoir plus confiance en son corps et donc plus confiance dans les capacités de son corps à réagir en cas de danger. Et cette confiance dans les capacités de son corps à réagir va faire diminuer le niveau de stress. Est ce que l’animal va être va se sentir moins en danger du fait qu’il est capable de savoir qu’il peut plus réagir ? C’est assez dur à expliquer. J’espère que vous avez bien compris et en faisant aussi des pressions mains sur tout le corps de l’animal, on va augmenter ses capacités d’ancrage et donc ses capacités à faire redescendre son niveau de stress. Comme les humains qui font de la méditation sont capables de faire redescendre leur niveau cardiaque, comme les humains qui font de la méditation, qui sont capables de redescendre leur fréquence cardiaque et donc leur tension artérielle, leur fréquence pulmonaire etc.
Le shiatsu va pouvoir aider votre cheval. A diminué sa fréquence cardiaque, a diminué sa tension artérielle et donc a diminué le taux d’hormones et le niveau de stress. Le shiatsu peut aussi aider à gérer les effets secondaires du stress. Je vous en ai parlé. Le stress peut causer des douleurs physiques comme des coliques, des maux de tête, des ulcères gastriques, des troubles de la digestion, peut créer de l’anxiété, peut créer des tensions musculaires, peut créer des pathologies tendineuses. Il peut y avoir plein d’effets secondaires au stress et donc, grâce au shiatsu, on va pouvoir agir sur ces effets secondaires. Bien évidemment, en parallèle du traitement vétérinaire. Mais ça peut être une super manière d’accompagner votre cheval à gérer son stress et les effets secondaires du stress. En shiatsu, il y a également des points qui aident à gérer les émotions du cheval. Il va y avoir des manipulations qu’on peut faire pour aider le cheval à gérer ses émotions, à gérer la peur, à gérer la colère, à gérer l’anxiété, à gérer la surexcitation, à gérer l’hystérie à gérer la tristesse, à gérer plein de choses.
Donc, il va y avoir à gérer plein d’émotions. On peut donc agir sur ces points. Lors des séances de shiatsu, ce qui va pouvoir aider votre cheval à se sentir mieux. La plupart de ces points sont situés au niveau de l’insertion des côtes de votre cheval. Donc, si vous avez envie de pouvoir aider votre cheval à mieux gérer son stress et à mieux gérer ses émotions, vous pouvez totalement masser cette zone pour l’aider à diminuer son stress émotionnel. Donc, je vous le répète, la zone c’est au niveau de l’insertion des côtes de cheval et donc vous pouvez le masser. Même si ce ne sera pas du shiatsu que vous faites, ce sera des massages, ce sera des grattouilles, ce sera du pansage, ce sera de la palpation. Ce sera ce que vous voulez, ce que vous pouvez. Et donc, au niveau de l’insertion des côtes, en manipulant cette zone, vous allez pouvoir aider votre cheval à mieux gérer ses émotions et à mieux gérer son stress. Et donc, si vous voulez une séance de shiatsu pour aider votre cheval à mieux gérer son stress, je me déplace en Île de France.
Je me déplace aussi en Savoie et en Belgique sur des tournées régulières et je peux organiser des tournées un peu partout en France. Si vous en avez besoin et s’il y a assez de personnes qui sont disponibles, si vous avez envie d’une séance de shiatsu. Du coup, pour votre cheval, vous pouvez totalement me contacter par mail, par message privé sur Instagram ou par téléphone et je vous mets toutes mes coordonnées en bas en description de cet épisode.
Je voulais vous faire une petite mise à jour, on va dire, de ce podcast. Comme vous le savez, ce podcast est disponible au financement sur Twitter grâce à Tipi. Vous pouvez donner de l’argent soit mensuellement, c’est à dire vous pouvez donner 2 € tous les mois ou vous pouvez en donner aussi ponctuellement. Je m’étais mis un objectif sur Tipeee. On a atteint cet objectif grâce aux contributeurs et donc grâce aux contributeurs de Tipeee. Vous avez maintenant accès à cet épisodes de podcast sur le blog Murmure Animal. Vous pouvez donc le lire à votre rythme en même temps que l’épisode, mais peut aussi le retrouver.
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